Cher frère le vert
Je suis à paris, je ne suis en forme, j’ai coupé la mère pour photographier le pain de mes enfants, c’est la galette il faut la suivre où elle va. Un jour je me suis levé le matin de bon dieu, j’ai déchiré la route pour aller à l’usine. J’ai trouvé le patron le fils de la chienne, il me l’acheté tous les jours. Il a commencé à faire tomber les mots et comme tu connais ton frère il a le nez, je lui ai dit la religion de ta mère. Après les ordures me sont montées à la tête et le sang a bouilli, j’ai avancé et je lui ai enlevé son dieu. La police est arrivée elle a tout nettoyé. Ils mont jeté en prison, après des jours et des jours j’ai frappé la soupe.
Mon cher frère le vert, je fais manger le bon Dieu sur toi, ne dis rien à ma mère, Neige. Tu lui feras tomber son cœur, prend soin d’elle, elle est étrangère dans cette histoire. J’ai acheté 7 bras de tissu pour ma sœur lune et une gandoura de velours tiré ainsi que trois tricots de viande de dedans à mon frère Gagnant. J’ai aussi acheté à ma sœur Rose une bouteille d’odeur qui tire l’esprit de la tête, et mon frère Vendredi qui a le cœur blanc, je lui trouvé de travail. Dis à ma mère que j’ai envie de manger la danseuse du poulet et la vache, dans la marmite de dieu.
Passe le bon jour à ma sœur liberté et dis à mon petit frère que je lui ai acheté un pantalon qui ne boit pas. Dis à mon père que je lui envoie les flousses pour entrer l’œil pour le cabinet de la maison. J’espère que le bon Dieu nous additionne un jour.
Ton frère esclave de Dieu.